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1.
Rev. Anesth.-Réanim. Med. Urg. Toxicol. ; 15(1): 6-9, 2023. figures, tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1437316

ABSTRACT

Les anomalies électrocardiographiques sont l'expression d'une atteinte cardiovasculaire lors de la COVID-19. Les troubles du rythme et de la conduction cardiaque peuvent mettre en jeu le pronostic vital à court terme au cours de la COVID -19. Notre objectif principal est de décrire les anomalies électrocardiographiques et leurs fréquences chez les patients atteints de la COVID -19. L'objectif secondaire est de déterminer l'association entre ces anomalies électrocardiographiques et la gravité de la maladie. Méthodes : Il s'agit d'une étude rétrospective à visée descriptive des patients hospitalisés pour COVID-19 dans les centres de traitement COVID -19 de Fianarantsoa sur une période de 14 mois. Résultats : Nous avons retenu 101 patients. Le sex-ratio était de 1,06. La moyenne d'âge était de 59,81ans +/- 11,9. Tous les patients retenus avaient un électrocardiogramme à 12 dérivations et un test positif à la COVID-19. L'électrocardiogramme (ECG) était anormal chez 87 (86,1%) patients. Dans les formes graves et modérées de la maladie nous avons enregistré à l'ECG: 51 (50,5%) tachycardies sinusales, 13 (12,8%) blocs de branche incomplets droits, 13 (12,8%) profil S1Q3T3, 24 (23,7%) ondes Q pathologiques, 19 (18,8%) anomalies du segment ST. Dans les formes graves de la maladie nous avons enregistré à l'ECG: 2 (3,8%) bloc auriculoventriculaire complet (BAV complet), 7 (13,4%) blocs de branche gauche complet (BBG), 5 (9,6%) blocs de branche droit complet (BBD). La tachycardie sinusale avait une association significative avec la gravité de la maladie (p=0,002). Conclusion : Des anomalies électrocardiographiques ont été observées dans notre étude. La tachycardie sinusale était associée à la gravité de la maladie. Une surveillance rythmique, des explorations cardiaques plus pertinentes sont nécessaires pour une meilleure prise charge de la COVID-19


Subject(s)
Humans , Arrhythmias, Cardiac , Electrocardiography, Ambulatory , COVID-19 , Long QT Syndrome , Cardiovascular Diseases , Cardiovascular Abnormalities , Patient Acuity
2.
Journal de la Faculté de Médecine d'Oran ; 6(2): 819-824, 2023. figures
Article in French | AIM | ID: biblio-1415186

ABSTRACT

La double discordance est une cardiopathie congénitale complexe extrêmement rare, elle se caractérise par une discordance auriculo-ventriculaire suivie d'une autre discordance ventriculo-artérielle. Son diagnostic est posé généralement à l'âge adulte par des examens d'imagerie. Son pronostic dépend essentiellement des autres malformations congénitales cardiaques associées, des arythmies et des troubles de la conduction, ainsi que de la fonction systolique du ventricule droit en position systémique. Nous rapportons le cas d'un patient âgé de 23 ans, porteur d'une cardiopathie congénitale complexe cyanogène. Il s'agit d'une double discordance associée à une large communication interventriculaire sous aortique avec un shunt inversé et une hypoplasie de l'artère pulmonaire. Ce diagnostic a été confirmé par l'imagerie multimodale. Non opéré, le patient a vu son stade fonctionnel s'aggraver rapidement avec une dyspnée qui est passée d'un stade I à un stade III-IV de la New York Heart Association (NYHA), et apparition de signes hypoxiques et congestifs. A travers cette observation, nous avons précisé les caractéristiques anatomocliniques de cette cardiopathie congénitale complexe cyanogène, son exploration, ses options thérapeutiques, ainsi que le rôle péjoratif de son association avec d'autres malformations congénitales.


Double discordance is an extremely rare complex congenital heart disease; It is characterized by atrioventricular discordance followed by another ventriculo-arterial discordance. Its diagnosis is usually made in adulthood by imaging examinations. Its prognosis depends mainly on other associated congenital heart defects, arrhythmias and disorders of the conduction, as well as systolic function of the right ventricle in the systemic position. We report the case of a 23-year-old patient with a complex cyanogen heart disease.It is a double discordance associated to an interventricular communication with reverse shunt and an hypoplasia of the pulmonary artery.This Diagnosis was confirmed in multimodal imaging. Non-operated, the patient saw his functional status worsen rapidly with dyspnea which went from stage I to stage III-IV of the New York Heart Association (NYHA), and appearance of hypoxic and congestive signs. Through this observation, we have clarified the anatomoclinical characteristics of this complex congenital cyanogens heart disease, the necessary explorations and the different therapeutic options, as well as the pejorative role of its association with other congenital malformations.


Subject(s)
Humans , Female , Pulmonary Artery , Therapeutics , Transposition of Great Vessels , Heart Defects, Congenital , Arrhythmias, Cardiac , Congenital Abnormalities
4.
Article in English | AIM | ID: biblio-1259416

ABSTRACT

Ashman phenomenon was first reported in 1947 as an aberrant ventricular conduction during atrial fibrillation. It occurs as a result of a change in the length of the QRS cycle. Ashman phenomenon has also been reported in atrial tachycardia and atrial ectopy. The commonest associated conduction abnormality is RBBB although association with LBBB has been documented. The condition is by itself asymptomatic and can be diagnosed by 12 lead ECG in most cases. It can easily be misdiagnosed as ventricular premature contraction. Management includes appropriate diagnosis and treatment of the cardiac disorders associated with it such as atrial fibrillation and atrial tachycardia. Isolated complexes do not require treatment


Subject(s)
Arrhythmias, Cardiac
5.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 41(12): 714-717, 1994.
Article in French | AIM | ID: biblio-1265927

ABSTRACT

A partir de 196 cas d'arythmies supraventriculaires colliges en 5 ans parmi 4269 malades hospitalises; les auteurs ont determine leur frequence et ont analyse les etiologies. La fibrillation auriculaire etait l'arythmie supraventriculaire la plus frequente (156 cas: 79;6 pour cent); suivie du flutter auriculaire (17 cas: 8;7 pour cent); la tachysystolie auriculaire (13 cas: 6;6 pour cent); et la tachycardie jonctionnelle (10 cas: 5;1 pour cent). Dans 188 cas (95;7 pour cent); une cause organique cardiaque a ete identifiee. Il s'agissait d'une cardiopathie arterielle (81 cas); d'une valvulopathie (68 cas); d'une myocardiopathie (22 cas); de cardiopathies diverses (15 cas); de cardiothyreose (2 cas). Dans 3 cas il s'agissait d'une cause extracardiaque et dans 5 cas d'arythmies supraventriculaires idiopathiques. Devant une arythmie supraventriculaire; il parait primordial de rechercher une cardiopathie sous-jacente de facon a traiter l'une et l'autre. Les auteurs soulignent l'interet d'un equipement en moyens adequats de diagnostic et de surveillance rythmologique


Subject(s)
Arrhythmias, Cardiac , Tachycardia , Ventricular Fibrillation
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